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Nouvelles du Groupe Solidarité Justice 19 décembre 2023

La PAIX – Noël 2023

La PAIX, ce n’est pas la tranquillité… ce n’est pas l’inertie… ce n’est pas l’indolence…

La terre est en remue-ménage ! Elle nous dérange et déplace l’ordre de nos pensées. C’est une chance de vivre en ces années où la terre s’agite, nous secoue et nous ramène à son ordre.

La science discerne un réel changement d’ère. Tout semble se bousculer et nous perdons plusieurs repères. La globalisation a rétréci la planète et nous pensons savoir tout ce qui bout dans la marmite du voisinage. L’information transporte surtout les problèmes et les atrocités des guerres. Là où se rencontraient les trois grandes religions, c’est la dévastation. C’est pourtant à partir de cet endroit stratégique qu’on échangeait chaque année nos messages de paix…

Pouvons-nous sérieusement nous souhaiter encore «la paix sur terre»?

Ce sont les visages candides des enfants qui nous encouragent à renouveler nos souhaits de paix. Si des jeunes femmes ont peur de mettre au monde ces promesses de vie, aidons-les à nous offrir des cadeaux plus précieux que la myrrhe, l’encens ou l’or. Elles seront les «sages-mages» de demain.

Paix à chacune, à chacun, pour que la planète se calme et nous sourit: PAIX!

Denise Brunelle, CND


CLINS D’ŒIL DU 25 DÉCEMBRE ET DU 1ER JANVIER

Au moment où Gaza, dans la Palestine de la nativité bientôt célébrée, est à feu et à sang, à l’Assemblée générale des Nations unies, le 12 décembre, 153 pays ont adopté une résolution exigeant un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza. Et cette fois, le Canada était du nombre.

«Le prix des crimes du Hamas ne peut être la souffrance sans fin du peuple palestinien», a dit mardi l’ambassadeur du Canada à l’ONU, Bob Rae, pour expliquer la nouvelle position canadienne.

L’idée, c’est de défendre les droits de la personne, le droit humanitaire et le droit international dans toutes les circonstances. Avec doigté et discernement.


Un peu d’espérance pour 2024?

La déclaration de clôture de la COP28, à Dubaï en décembre, promet une transition pour éliminer toute forme de combustible fossile dans les systèmes énergétiques et l’élimination progressive de l’électricité produite à partir du charbon.

Selon les scientifiques, même si le texte adopté manque de mordant, il s’agit néanmoins d’un progrès. Une toute première mention des énergies fossiles dans un accord international en trois décennies de négociations climatiques donne à espérer que les conférences à venir resserreront la vis sur les «énergies sales». Un petit pas dans la bonne direction.