Visitation et Pentecôte à Notre-Dame-de-Québec
Unies aux nombreux spectateurs-spectatrices de Radio-Canada, nous étions fières des interventions du Père Marc Rizzetto s.j. lors de la messe télévisée.
Bonne nouvelle: sainte Marguerite Bourgeoys est dé-confinée. D’un océan à l’autre, les visitations de notre Mère sont appréciées; le feu de Pentecôte qui l’habite est transmis avec la même ardeur dans tous les pays où les Sœurs de la Congrégations exercent leur mission. Rien à son épreuve: elle réussit à ébranler nos peurs et à faire jaillir partout des étincelles de confiance au-delà des frontières.
Beaucoup de messages de bonne fête sont venus de différentes Congrégations religieuses à la suite du message du Père Marc Rizzetto: «En ces temps difficiles de pandémie, alors que nous pleurons nos morts, sur une note plus festive aujourd’hui, nous soulignons, disait-il, le 400eanniversaire de naissance de sainte Marguerite Bourgeoys, fondatrice des Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame, première communauté féminine non cloîtrée en Nouvelle-France… En ce jour, sur quatre continents, les religieuses renouvellent leurs vœux et font la fête. En leur honneur, écoutons un chant de circonstance: Hâtons-nous en chemin».
Merci aux médias d’avoir permis un tel rayonnement de Marguerite Bourgeoys en si peu de temps.
À la résidence Notre-Dame-de-Québec, le «2 mètres» ne nous empêche pas de faire la fête. Pour faciliter le respect des consignes gouvernementales, nous utilisons la grande salle au sous-sol pour le renouvellement de nos vœux. À l’intérieur d’une célébration faisant place à la réflexion: La visitation, expérience d’interculturalité, notre prière universelle s’élargit aux intentions du monde.
En soirée, ce fut la fête des célébrités de juin: Réjeanne Marcoux, Clémence Boudreault et Jeanne d’Arc Picard. Selon une tradition qui semble s’établir chez nous, chacune choisit un chant que la communauté interprète; chacune partage ensuite une bonne nouvelle ou un événement heureux vécu récemment.
À la fin de cette belle journée, nous avons droit à une gestuelle inspirée du chant du 400e et réalisée par Candide Brisson, Julienne Paré et Jacqueline Beaulac.